- Questions sur le mentorat
- Qui peut être mentor ?
- Je suis intéressé(e) par le rôle de mentor ; qui dois-je accompagner ?
- Je suis un étudiant(e) qui souhaite avoir un(e) mentor ; comment en trouver un(e) ?
- Conseils Pratiques
- Comment commencent généralement les relations de mentorat ?
- Et si c'est maladroit ?
- Quelle est la différence entre une rencontre en personne et une rencontre en ligne ?
- Où devrait se dérouler les rencontres de mentorat en présentiel ?
Questions sur le mentorat
Qui peut être mentor ?
Tout le monde! Le mentorat consiste à prendre soin des jeunes, à les écouter et à les accompagner dans leur cheminement. Tu n’as pas besoin d’être un «expert» ou d’être à une étape particulière de la vie. Les jeunes apprécient les mentors pour leur attention, et non pour leurs connaissances.
Je suis intéressé(e) par le rôle de mentor ; qui dois-je accompagner ?
Connais-tu des étudiants du secondaire ou des étudiants qui ont terminé leurs études récemment ? Dans le mentorat, la confiance devrait avoir un certain niveau de profondeur et solidité. L’idéal est donc de commencer par quelqu’un que tu connais déjà. N’importe quel jeune peut bénéficier d’un soutien, alors pense à faire un pas de foi pour tendre la main à une personne de ton église/communauté, même si tu ne la connais pas encore bien.
Je suis un étudiant(e) qui souhaite avoir un(e) mentor ; comment en trouver un(e) ?
Cherchez un adulte de confiance qui se trouve à un stade de vie différent du tien. Demande-lui de prendre un café avec toi pour t’aider à réfléchir à ton avenir. Tu peux partager une ressource (comme notre guide de mentorat) et voir s’il/elle serait disponible et intéressé(e) à l’utiliser avec toi sur une base régulière.
Conseils Pratiques
Comment commencent généralement les relations de mentorat ?
Demande à un jeune de te rencontrer et invite-le à entrer dans une relation de mentorat. Si tu prévois utiliser une ressource (comme notre guide de mentorat), montre-lui. Vois si cet outil pourrait l’aider à traverser son année. Propose et discute du déroulement prévu, comme la fréquence et la durée de vos rencontres (par exemple, 60 minutes par conversation, une ou deux fois par mois). Après quelques semaines, faites le point ensemble. Permets-lui de décider s’il/elle souhaite continuer. Si c’est le cas, évaluez et faites les ajustements nécessaires.
Et si c’est maladroit ?
Ça pourrait l’être ! Et ce n’est pas grave. La maladresse n’est pas nécessairement un signe que quelqu’un fait quelque chose de mal, mais les nouvelles relations peuvent être inconfortables. Passer à travers la maladresse et l’inconfort d’une nouvelle relation peut être un signe d’intentionnalité. Avec le temps, vous devriez vous sentir plus naturellement connectés l’un à l’autre.
Quelle est la différence entre une rencontre en personne et une rencontre en ligne ?
Bien que les conversations en ligne soient pratiques, les conversations en personne sont très utiles pour favoriser une relation de mentorat. La communication non-verbale est une façon différente et précieuse d’écouter et de parler. Au minimum, si possible, cherchez à avoir vos deux ou trois premières conversations en personne avant de passer aux conversations vidéo en ligne.
Nous comprenons également que la rencontre en ligne est la méthode la plus sûre (et la plus autorisée) pendant la pandémie de COVID-19. Veuillez respecter (ou adhérer) aux directives de votre gouvernement local en ce qui concerne les rencontres en personne.
Où devrait se dérouler les rencontres de mentorat en présentiel ?
Choisissez un espace qui permet une conversation vulnérable, mais qui vous offre à la fois transparence et sécurité. Les cafés, les bibliothèques locales ou les espaces publics en plein air peuvent être des endroits parfaits pour se rencontrer.